Dimanche 21 décembre 2008 à 13:23
Tu vois le petit éléphant qui saute de joie sur un trampoline ? Et ben c’est moi. Non pas que je ressemble a un éléphant, ni que je fasse du trampoline, mais étant donné qu’ un éléphant qui fait du trampoline est un éléphant qui a du temps a perdre et qui est heureux d’avoir ce temps a perdre (
regarde comme il balance joyeusement sa petite trompe) et que moi j’ai du temps a perdre que que je suis contente de réapprendre a notion « avoir du temps a perdre », donc je pense que je peux faire un parallèle entre l’état d’esprit de cet éléphant et le mien. Je m’identifie moralement a cet éléphant . (Haha, donnez moi une corde, je raconte n’importe quoi. )
D'abord je doit dire que « ça fait du bien d'être en vacance. » J'hyperbole peut être un peut mais n’empêche que je ne savais pas quoi faire de mon temps libre, étatn donné que d’habitude mon temps libre, je l’utilise pour réviser ou m’avancer dans mes devoirs.
Then j’ajouterais que « j’ai enfin reussit a me délivrer des chaînes de l’asservissement domestique » . Bah oui, pas de temps libre pour ne rien faire, apas de temps non plus pour ranger ma chambre.
Next, I will say that j’aime bien faire des cadeaux de noëls, mais que quand je réalise que je ne vais pas bénéficier de ce que je suis un train d’acheter, et que je vais devoir le donner (
c’est le but d’un cadeau je crois) ça me fait un petit peux mal a mon petit cœur chaud d’artichaut, weil je choisis a chaque fois quelque chose non seulement qui peut plaire au bénéficiaire du cadeau mais aussi a moi. Toi par exemple, quand tu achète un cadeau, tu prend jamais quelque chose de moche. Tu te dit pas « tien, c’est carrément immonde, mais comme ça va lui plaire, je le prend ». (Sauf si c’est pour faire la blague du « je t’achète un magnifique string rose a pompon fluorescent »). J'en viens donc a la conclusion que je suis un monstre d'égoisme. Mais bon, ça fait parti de mon charme (tout comme le fait que je suis maladroite et que je suis un ventre sur patte).
Et enfin, comme je suis en plein tapage-sur–clavier de mon commentaire de philo, et que j’ai pleins de pensées philosophiques et super bizard qui me traversent l’encéphale, et ben je vais t’en faire profiter d’une. Jme suis dit qu’on est comme des hérissons en plein hivers. On se rapproche des autres hérissons parce qu’on a froid, on se rapproche et on se pique, comme on se pique on s’éloigne, comme on s’éloigne on a froid, on se rapproche etc. Soit on est trop près, soit on est trop loin, il faut trouver un juste milieu , et ce juste milieu, c’est la politesse.
Haha, n’empeche moi je te raconte n’importe quoi, et toi tu le lis.