J'en ai marre du mot crise.
Bref, j'épilogue pas la dessu mais j'ai pas envie d'être dans une année ou y a rien a dire. En même temps on a déja eu une guerre en Irak des attentas et une crise financière, je pense que ça devrais suffisement faire parler du 21e siècle. Soupir de soulagement.). Bref, j'vais être lapidaire et avouer - même si c'est horrible- que j'aime les cours d'histoire quand le prof nous parle de mort par milliers, de guerre, de famine, de révolution et tout l'armada de vicissitude causé par les petits être humain et qui retombe sur la gueule de ces même petits êtres humains. Et je crois que c'est pour ça que le cour d'histoire est un de ceux que je préfère. Oui je sais je suis une vilaine fille qui aime se délecter des chroniques affligeantes de l'être humain.
Non, mais si il n'y avait que la crise économique, mais ya aussi la crise de confiance ( à la base de tout ce ramdam), et si on est de mauvaise humeure, c'est parce qu'on passe notre crise d'adolescence et qu'on a les hormones en bringue, si le journal de 20 h perd de l'audience, c'est a cause d'une crise de l'audience sur tf1, et si mon chat m'a griffé ce matin, c'est parce qu'il est en pleine crise de recherche de son identitée féline.
Seulement on utilise tellement ce mot, qu'il va y avoir une crise du mot crise. Si par exemple dans quelques jours les valeurs des quotations en boursent se dévissent comme elles ne l'ont jamais fait, si tout s'effondre, si tout s'aggrave,on ne saura même plus comment nommer l'evenement. Et ça ce serait une grave.. euh... une grave crise pour la langue française.
Blue da ba dee - Eiffel 65 (Qui me trotte dans la tête depuis belle lurette )
I'm not gonna teach your boyfriend how to dance with you - Kate nash (juste pour le titre)