tootie-tushie - C'est en écrivant n'importe quoi qu'on devient n'importe qui.

Titre

Sun, 01 Nov 2009 21:51:00 +0100

Y a comme un truc malsain. Je la deteste en l'ayant a peine cotoyé pendant 1 an et demi. Au fond, j'aimerais la connaitre, mais juste pour mieux la detester. Je lui en veux d'être trop comme moi, et pourtant différente, mieux peut être, ou simplement plus sociale. Et je n'arrive pas à la calculer. A comprendre ce ce qu'elle a fait a des gens tout a fait aimable, et tellement plus interessant qu'elle. Mais je préfère ne pas comprendre. Parce que ce serait a moitier lui pardonner.

Titre de l'article

Sat, 22 Aug 2009 20:36:00 +0200

"Et voila. Maintenant le ressort es bandé. Cela n'a plus qu'a se dérouler tout seul. C'est cela qui est commode dans la tragédie. On donne le petit coup de pouce pour que cela démarre, rien, un regard pendant une seconde à une fille qui passe et lève les bras dans la rue, une envie d'honneur un beau matin, au reveil, comme quelque chose qui se mange, une question de trop que l'on se pose un soir.... C'est tout. Après on n'a plus qu'a laisser faire. On est tranquille. Cela roule tout seul. C’est minutieux, bien huilé depuis toujours. La mort, la trahison, le désespoir sont là, tout prêts, et les éclats, et les orages, et les silences, tous les silences : le silence au commencement quand les deux amants sont nus l’un en face de l’autre pour la première fois, sans oser bouger tout de suite, dans la chambre sombre, le silence quand les cris de la foule éclatent autour du vainqueur – et on dirait un film dont le son s’est enrayé, toutes ces bouches ouvertes dont il ne sort rien, toute cette clameur qui n’est qu’une image, et le vainqueur, déjà vaincu, seul au milieu de son silence...(...)
Et puis, surtout, c’est reposant, la tragédie, parce qu’on sait qu’il n’y a plus d’espoir, le sale espoir ; qu’on est pris, qu’on est enfin pris comme un rat, avec tout le ciel sur le dos, et qu’on n’a plus qu’à crier, – pas à gémir, non, pas se plaindre, – à gueuler à pleine voix ce qu’on avait à dire, qu’on n’avait jamais dit et qu’on ne savait peut-être même pas encore."

Time is running out

Mon, 10 Aug 2009 13:34:00 +0200

Un de mes passe temps favoris pendant les vacances: mp3 en mode aléatoire et moi en mode contemplation du plafond/je pense a mon future et ça me fait flipper/je pense a mon passé je regrette. Et mon père qui me perturbe en voulant me faire apprendre les 2 premiers chapitres de maths par coeur. Je sais qu'il a raion, mais quand tu es en vacance la perspective de refaire fonctionner tes méninges (je déteste apprendre par coeur. Merde si je voulais apprendre par coeur je serais allé en fac de medecine!) n'est pas réjouissante.

Surtout que je n'aime pas travailler quand la moitiée de la journée s'est déjà écoulé. (Levée a 10h, déjeuné vers 11h, puis ai attendue que la sdb se libère cad vers 12h environs.) J'ai l'impression d'être un mollusque , voila.

Quand j'était petite je pensait que je ne passerait jamais le bac, qu'on restait indéfiniment a un certain age et qu'on passait toute notre vie dans la même peau avec les mêmes problèmes. Comme dans les dessin animé pour gosse. (T'as déja remarqué, les personnages grandissent jamais,mais c'est normal). J'avais vraiment l'impression que le temps était figé. Maintenant je me rend compte qu'il file trop vite, qu'on doit faire des choix sans vraiment avoir eu le temps de réfléchir au mode de vie qu'on voulais mener et que du coup, on se plante une fois sur deux.

Donc je m'y prend en avance. Pour l'an prochain j'hésite entre le menu

1) Etre comme tout les gens qui ont une pléthore "d'amis" (on va plutot dire "relation" c'est plus approprié) , paraitre insouciant mettre des coeurs pour n'importe quel "relation" même si tu viens de faire sa connaissance.

2) Ou n'en avoir quelques un de les garder et réellement avoir des sentiments pour eux. (Va pas me dire toi qui a 50 TopFriends sur facebook que tu a des sentiments pour tous, il faudrais que tu sois le superman des sentiments, ce que tu n'es pas, ne te voile pas la face.)

3) Ou encore un mix des deux : je ne garde que quelques amis et puis j'ajoute des personnes ici et la pour décorer. On verra si ces dernières vont faire parti des gens auquels je tiens. Je ne prend pas de risque, sauf cas exeptionel , les gens viennent vers moi ou pas, et puis je choisis de les garder ou pas. Ça fait peur énnoncé comme ça, mais c'est souvent comme ça que ça marche.

Mais je crois que pour le premiers choix il faut faire parti de la catégorie de gens qui vivent avec des certitudes, que j'admire et méprise. S'amuser, rire boire parler, donner son avis doit être mille fois plus facile que lorsque tu te remets sans cesse en question.

How to disappear completely

Thu, 09 Jul 2009 23:55:00 +0200

C'est quand même marrant la tendance qu'on les gens a me dire que je suis trop petite quand ça les arrange. Heureusement, tout ça c'est terminé avec l'arrivée des 18 ans, soit 568 024 668 secondes (ça fait tout de suite plus yeah). Que ce soit les histoires dans le noir que je ne pouvais pas écouter parce que après je ne voulais plus dormir toute seule (rien n'a changé depuis) ou l'alcool (beaucoup de choses ont changé depuis).
Maintenant quand une personne d'un certain âge me dit"c'est pas de ton age" j'en conclu "c'est pour les vieux" et non plus "tu es trop jeune". Alors je suis contente, mon égo n'est plus blessé, au contraire, c'est plutot l'autre qui cache derrière cette phrase qui se veut blessante des problèmes qu'on ne crit pas sur les tois, comme les fuites, les rides la ménopose et autre choses qui me font aussi peur que 28 semaines plus tard.(film)
D'ailleur je ne comprend pas pourquois on dit "si jeunesse savait, si vieillesse pouvais", ou encore "on ne comprend le mot jeunesse qu'a partir de trente ans". Je sais très bien ce qui m'attend. Je sais que lorsqu'on atteind un certain age, on perd ses capacités, qu'on s'en rend compte. Je trouve que c'est ça le pire. Voir des petites minettes faire comme si la dame agé a coté d'elle ne l'a jamais été. C'est ça le plus douleureux.
Sans compte le fait qu'on sait qu'on se rapproche de plus en plus de la fin du rouleau, sans savoir exactement quand on va atteindre le tube en carton (comme pour le papier vécé, tu sais ) . Et c'est ça qui fait le plus peur. Savoir que tu vas mourire. Tu n'as pas peur de la mort, (en dehors de la mort des autres) mais plutot du vecteur mort. De la façon, de "comment ça va surgir". Lent ou rapide. Douleureux ou inconsciemment.
C'est ça la problématique je trouve. Jeune ou vieux on a aucune garantie de vie. Même si la probabilité de mort augmente en vieilssant avec l'accumulation de facteurs pouvant entraîner la mort. Alors quand on est agé, (mais vraiment agé, je veux dire 60, 70 c'est pas agé de nos chours) on fini par attendre, et en profiter, faire des choses qu'on a jamais osé faire. Tandis que les jeunes doivent en même temps dealer avec le fait qu'ils ont (normalement) une longue vit devant eux, avec le fait qu'ils doivent s'entretenir et assurer cette longue vie, und avec le fait qu'ils doivent profiter de leur jeunesse.
Ce qui est presque impossible, car profiter, pour moi, ne colle pas avec entretenir. Profiter tout en s'entretenant c'est ne pas profiter au maximum. Ce qui laisse a la vieillesse le soin de faire ce qu'on a pas pu faire. Pas faute d'envie ni d'imagination. Ça je ne leur laisse pas.

Sinon a part ça j'ai acheté des livres pour la prépa Antigone d'Anouhil, Manuel de culture général étécé... Ça sent bon le neuf . Et je suis très contente d'avoir quelque chose a me mettre sous la dent. Je vais à nouveau pouvoir briller d'intelligence en société (pourquois tu rigoles ?) ça fait très classe de dire "Mh non je peux pas tout de suite, faut vraiment que je finisse le livre VII d'Ethique a Nicomaque d'aristote, mais dans une heure je suis a toi" Ça fait très snob intellectuel. En apparence. Enfin. c'est bien joli de lire cet amas de phrases pleine de sagesse entassé dans ces livres, entassé au pied de mon lit mais encore faut il retenir et comprendre. Et apprendre.
Et puis ceux qui te disent qu'une enième aprèm dans un café a rabacher une 666eme fois les rumeurs (dont-on -ne-sait-même-plus-ou-elles-on-commencé-ni-meme-si-elles-sont-vraie-mais-on -le -répète-c'est -tellement-amusant-et puis-on-a-rien-de-mieux-a-faire) vaut mieux qu'une heure de bonne lecture, tu les laisse pourrir sur place.

Oui, parce que dans le fond, quand on sera vieux, que nos jolis minois seront tout ridé, et que nos organisme seront altéré par tout ce qu'ils ont enduré, c'est tout ce qu'il restera. La culture, le savoir qu'on aura pu stocker. Et les gros parleurs qui ont passé leur temp a sortir-baiser a droite a gauche dans le moindre coin paumé pour profiter de la moindre party ne seront plus que des loques en train de regarder le futur équivalent des feux de l'amour pour les filles et eurosport pour les garçons. Un mouchoir a la main pour les uns, une canette de bière pour les autres.
Après bien sur il faut trouver le juste équilibre et ne pas virer rat de bibliothèque (quoi que, je trouve ça charmant) .Je ne suis pas maso non plus, loin de la.

Je sais très bien me plaindre. Pour changer je vais dire ce que j'apprécie (oui ça existe).

She is always avoiding falling in love

Tue, 30 Jun 2009 23:59:00 +0200

Assez surprenant la tendance qu'on les gars a se trouver gay en fonction d'un détail "ooah nan ces lunettes me donnent trop un air gay!"
Mais j'ai remarqué que c'est la même chose que quand une fille a peur d'avoir l'air trop pouf, salope, ou too much niaise. (J'ai rien contre les gays. J'en ai même presque aimé un donc.)
Cependant, les filles ne sont pas dérangé par le look gay (souvent même les plus beau-gentil-attentionné gars sont gay). Tout comme les gars ne semblent pas dérangé par le look poof. (jolie poof souriante et alcoolisée avec des habits plus courts que la moyenne, pas pouf grosse grasse qui se traine par terre en chantant l'hymne russe après trois bières).
Ahaa, c'est trop bon de réfléchir après une certaine heure passé. On a l'impression de dire des choses intelligente. Et les gens sont trop fatigué pour comprendre les longues phrase énoncées. Donc soit ils approuvent, soit ils disent qu'ils ne comprennent pas, que c'est trop dur pour leur neurones dont la capacité est amoindrie par la chaleur. Et donc je suis contente.
Parce que soit petit 1, la personne est d'accord avec moi, donc j'ai raison.
soit, petit 2 je me dit que j'ai de la chance de ne pas avoir des neurones ramollis par la chaleur, c'est a dire qu' ils sont résistant. Hiiya.
Soit, petit 5 la personne prétend manquer de neurone en raison de la conjoncture météorologique, alors qu'en fait, elle n'en a pas du tout et essaye de justifier son manque d'intelligence prétendument passager mais en réalité permanent par un alibi boiteux .Je suis ultime, je suis Dieu.

Bien sur, la possibilitée que la personne n'ai pas du tout lu, voir qu'elle se foute de ce que j'écris ce que j'ai écrit est éliminée.

Donc, les gars, ayez l'air éfféminé (ou, tout au moins, plus sensible) et les filles, portez des vêtements plus courts . Puisque les un et les autre aiment ça.

Non, rien, vraiment.

Mon, 29 Jun 2009 23:34:00 +0200

. Bon, alors on reprend le clavier. Le bac est passé.D'un coté je serait déçu de ne pas avoir la mention. La c'est mon égo qui parle. D'un autre coté l'autre coté qui se fait toujours des films et qui me voit déja redoubler la teminale, se contrefout de la mention et eut juste le bac. Et on se fait des promesses "de toute façon, l'an prochain, je travaillerais plus régulièrement, je met toute vie sociale entre parenthèse. Enfin, entre de très peites parenthèses.". Et on y crois.

.Je me vois déja dans un foyer, en train de bosser alors qu'il fait noir dehors (oui, dans ma tête on est en hivers et les jours sont cour, et je bois du caffé pour me tenir chaud und pour relire une enième fois mon cour de culture Générale. Parce que oui quand je me projète dans le futur, je révise régulièrement, mes cours ne sont PAS jeté pele mèle dans une pochète, et tout est bien rangé dans un rayon de 1 mètre).

.Mais j'ai quand même la flemme de devoir resocialiser avec des gens.Tout recommencer. Devoir être a nouveau souriante et aimable, de faire des efforts, pour avoir l'air normale . Depuis le temps qu'on me dit que je suis folle (même si raisonnament folle), je commence d'un coté a trouver ça coule, (au moins je surprend) et d'un autre a m'énerver contre le stéréotype pré-réchauffé que se représentent les gens qui s'auto-étiquiètent normal. Et qui sont content de l'être. Bouffons.

.Je suis bien avec les quelques amis que j'ai, j'ai pas envie d'être aimable. Mais finalement je le suis pour avoir la paix. Pour que personne ne qu'ils se retourne contre moi et qu'ils n'ai aucune excuse pour ne pas m'apprécier.(Parce que je tien a être apprécié, tout comme toi). Que lors d'une dispute pour un quelqu'on que motif tout a fait puéril, je ne puisse pas être accusée de quoi que ce soit. Mais a être trop sympatique, on peut facilement devenir transparent, fade. (mais ça va, puisque je suis folle)

.Mais l'avantage avec les gens prétendument gentil, c'est qu'on ne les verras jamais faire les pires actions. Ils sont immédiatement rayé de la liste des personnes a suspecter, critiquer. Parce que quand on critique quelqu'un qui est raisonnablement de gentil, on passe tout de suite pour un con qui cherche la moindre noise. (Attention, les personnes torp gentil ne son pas critiqué, tout simplement parce qu'on ne parle pas du tout d'elles "ah tien, mais elle est dans la classe cette fille?").

Voila, c'est dur la vie sociale. Et il va falloir tout recommencer. Oui, mes problèmes sont affligent, je sais. Et tellement interressant.

Etre franc, c'est faire des économies.

Tue, 31 Mar 2009 22:59:00 +0200

Note pour l'avenir. Ce serait tellement plus simple pour toi, pour moi, pour tout le monde de dire franchement les choses, au lieu de te la jouer faussement insensible et prétendument mystérieux. Par exemple.Si je te textote

" Ce soir je ne peux pas, je passe la soirée avec machin. Besoin d'un mouchoir?".

Répond "Si ça me rend jaloux", au lieu de dire bêtement (mais au final c'est peut être ça que j'apprécie):

"Tu me dérange en pleine dissert' ma grande. De toute façon, je sais très bien que tu penseras à moi quand tu seras avec lui et puis, s'il peut te décharger de tes hormones, c'est tout bénef'. Ah, aussi, evite de prendre une kriek parce que tu sais que ça te fait roter, et que c'est moyennement glam. Allez, laisse moi, je travail. Bisous"

Et en plus, ça t'aurai fait économiser 2 sms.

Tonight (The Bewitched Hands On The Top Of Our Heads Cover Remix) Yuksek

So give me something to believe

Tue, 03 Mar 2009 00:22:00 +0100

Généralités: (ou ce a quoi je pense quand je fait introspection, quand je pense à ce que j'ai fait, ou pas, ce que j'ai regretté d'avoir fait, ou plus récurrement, ce que j'ai regretté de ne pas avoir fait.) Genre de truc qui me torpille l'esprit quand je tape ma synthèse d'ses sur le rôle de l'école dans la mobilité sociale. Logique.

Toujours relire deux fois les SMS, choisir le bon vocabulaire. Avoir l'air détaché-intéressé. Raccrocher en premier, laisser venir. Arriver au bout d'un certain temps à une maîtrise du refoulement des hormon.. des sentiments. Réussir a être passablement naturel avec toi alors qu'au fond tu me troubles.
Savoir que je suis gavée d'un concentré de série mièvre puérile et romantique. Et pourtant, faire semblant de n'avoir besoin de personne, et crier partout que un copain c'est synonyme de concession, que je peux très bien vivre toute seule (pour un temps), qu'au moins je n'ai de compte a rendre a personne. Ne pas être dépendant, surtout. Et pour préserver cette image, je n'accepte pas qu'on puisse me prêter le costume de celle qui est attaché a l'autre. Non, si il y a quelque chose, ça vient de lui, moi l'idée ne m'a même pas effleuré l'encéphale.
La dépendance me gène. Pas envie d'être dépendante de qui que ce soit, parce que cette personne peut te lacher quand elle veut et que si c'est pour finir dans un salle état, Ipod dans les oreilles, recroquevillé dans mon lit sur un fond de still loving you, je dit non merci. Et je ne tiens pas a ce que ça recommence, étant donné la merde que ça a été pour en sortir la dernière fois. Je ne veut pas devenir dépendante a cause du sevrage difficile. Même si cet argument parait bien maigre comparé aux couples heureux qui sont dans leur bulle. Je sais.
Alors il ne me reste pas 3600 chose a faire. C'est pas que je suis méchante, coincée, stupide insensible ou quoi que ce soit qui fasse que je prétende être aussi receptive qu'une omelette au jambon.

C'est juste que quand je vois ce dont les gens sont capable , comment les gens se comporte entre eux, c'est juste que, entre le rôle du bourreau et de la victime, je préfère ne pas être la victime.

Pourquoi s'interdire ce plaisir.

Tue, 24 Feb 2009 15:33:00 +0100

Y a des mots qui me sembent tellement rond, tellemend lisse, tellement rose et sucré, que j'ai envi de montrer une tout autre image.
Gentil . Un mot bien simplet que j'ai du mal a placer dans une phrase, parce que ça fait tout de suite, vocabulaire d'enfant de primaire. Les enfants de primaire par contre (mon frère par exemple) savent très bien quand être gentil pour obtenir ce qu'ils veulent... C'est pas gentil d'être faussement gentil.
La gentilesse n'est que du narcissisme déguisé. On est gentil car ça nous fait du bien..Les gentils sont donc des drogués de l'autoapprobation. D'un autre coté, la gentillesse est le plus envié des attributs humains. On n'envie pas quelqu'un qui est riche, beau célèbre, bien fringué déprimé , sadique, et malveillant.. En fait c'est la gentillesse qu'on envie le plus car c'est le meilleur indicateur de bien être. On envie donc les narcissiques et drogués de l'auto-approbation. Vu sous cet angle, ça parait plutôt simple d'être célèbre dans la cour du lycée.

En général, je suis gentille pour cinq raisons:
-Je suis gentil avec toi pour obtenir ce dont j'ai envie de toi
-Je suis gentille avec toi pour me faire pardonner
-Je suis gentille avec toi parce que tu m'inspire tellement des truc violents que je ne peux éviter de faire des conneries qu'en étant gentille.
-Je suis gentille par politesse, et donc pour instaurer une certaine distance .
-Je sus gentille parce que j'en ai envie, je ne répond donc qu'a un besoin impulsif d'être gentil. C'est pour mon propre bonheur personnel .

C'est comme si un bonbon appétissant perdait tout son attrait une fois qu'on en découvre les composants. Un bonbon qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue.

Close your eyes - Young Love (Cliquer sur telecharger une fois la fenetre ouverte)
Mowgli's Road Marina & The Diamonds (et voir "obsession" sur youtube)

Tu m'inspires que des truc violents

Sat, 31 Jan 2009 15:43:00 +0100

Dans ma tête c'est un défilé de "je l'achète? Je l'achète pas?" Des calcul de rentabilité, de "qu'est ce que je pourrais mettre avec". De "oh, mais j'ai déja un pull de cette coupe... Oui, mais je n'ai pas encore un pull de cette coupe, de cette marque Haha... Donc je prend."

Et la moitié de l'argent de Noël qui part dans le shopping, dans l'achat de pull tommy rose, de jodhpur tout doux. Figure toi que (ça y es, t'es figuré?)je crois que j'aime pas vraiment flâner a la recherche de l'habit qui sera le nouvel amour de ma nouvel vie, weil je suis toujours déçue. Trop grand, trop petit, plus la bonne couleur, non soldé. Le coup de l'ascenseur émotionnel . Tu vois la pièce de tes rêves, les bottes parfaites, le manteaux calvin k sur lequel tu a bavé tout l'hivers. Tu te dirige vers ta proie en moins de deux, manquant de renverser les gens se trouvant sur ton chemin. La main un peux fébrile, tu cherche en vain une taille 36 (voir 38, tu serais prête a prendre du 38). Quedal, nada, prout. Et la t'autoplains sur ta propre personne (pléonasme) , tu bafferais bien la caissière d'avoir laissé une merveille pareil filer a quelqu'un d'autre que toi,tu te dis que tu es la plus malchanceuse des soldeuses, la plus triste des petites filles dans le monde entier, parce que une autre fille avant toi était trop maigre pour acheter un 40 ou un 42. Et tu en veux a la planète entière, tu te dis que, non ce n'est pas vrais, on ne va pas vers une obeisation de la population (si ça existe comme mot, tais toi), la preuve, les tailles 34-36-38 partent toujours en premiers. Comme quand tu te les pèles parce qu'il y a de la neige et que tu te dis que le réchauffement climatique, c'est du bidon. Bref tout prétexte est bon pour attiser ta mauvaise humeur.

Mais le pire, c'est que si tu avais eu la possibilité d'acheter la pièce de tes rêves, si il restait la bonne taille, le bon model, la bonne couleur, tu ne l'aurais pas forcément acheté (encore trop cher, c'est bientôt plus à la mode, plus pour cette saison, jle mettrais jamais...).

Bref, je vais pas extrapoler la dessus (même si c'est déjà fait ). Juste dire que j'attend la fin du trimestre afin de pouvoir rendre visite à autre chose qu'a mes cours.